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Documenter et comparer la relation entre la consistance des liquides et le temps de déglutition chez une population avec dysphagie secondaire à la dystrophie musculaire oculopharyngée 

Maladies neuromusculaires

Étudiantes impliquées : Claudia Côté, M.Sc., étudiante au doctorat et Annie Villeneuve-Rhéaume, B.Sc. étudiante à la maîtrise, toutes deux du programme de Recherche en sciences de la santé, Université de Sherbrooke  

 

Chercheuse responsable : Cynthia Gagnon erg., Ph.D.

Cochercheuse : Isabelle Germain, Ph.D., Dt.P.

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Collaborateurs : Bernard Jasmin, Ph.D., Aymeric Ravel-Chapuis, Ph.D., Jean-Philippe Leduc-Gaudet, Ph.D.

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Lieux de l'étude 

Ce projet est provincial et se déroule à Saguenay.

 

 

 

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Pourquoi?

 

La dysphagie est un trouble de la déglutition fréquent dans différents problèmes de santé. Elle se caractérise par une difficulté à mastiquer/avaler les aliments solides/liquides. Elle peut conduire à la dénutrition et favoriser le développement de pneumonies d’aspiration. Un des traitements est l’épaississement du liquide qui permet de ralentir sa course dans l’oropharynx. L’épaississement est décrit par un vocabulaire standardisé qui réfère à une plage de valeurs de vitesse d’écoulement. Diverses méthodes d’évaluation du niveau d’épaississement sont proposées mais peuvent mener à un plan de traitement nutritionnel différent. Pour assurer une déglutition sécuritaire, il est fondamental de connaître comment la vitesse d’écoulement du liquide évaluée par ces méthodes peut se comparer à l’écoulement lors de la déglutition.

 

Objectifs 
 

  1. Documenter la vitesse d’écoulement des liquides, selon la catégorisation proposée par deux méthodes (Bostwick et IDDSI), puis comparer avec le temps de déglutition chez des adultes atteints de dystrophie musculaire oculopharyngée et dysphagie.

  2. Explorer les facteurs rhéologiques et physico-chimiques influençant la vitesse d’écoulement selon les deux méthodes. 

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Recrutement et collecte de données

 

Trente-deux adultes avec dystrophie musculaire oculopharyngée et présentant une dysphagie ont été sélectionnés à l’aide du registre de la Clinique des maladies neuromusculaires du CIUSSS du Saguenay—Lac-Saint-Jean

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Résultats

 

Ce projet permettra de constater si l’écoulement des liquides lors de la déglutition peut être reflété par l’une ou l’autre des méthodes utilisées et guider le choix de la méthode. 


Retombées

 

À venir.

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